La vie, ce sont des milliards de potentialités — mais on est si centré sur nous même, sur notre petite vie de tous les jours, qu’on en oublie de vivre… tout simplement.
Aujourd’hui, je vais oser une réflexion qui va à l’encontre de la pensée générale sur un sujet qui fait beaucoup couler d’encre… C’est celui du retour à la terre, à une vie simple, près de la nature, une vie entre méditation et écoute de ses besoins, loin de cette société de consommation qui corrompt et pollue tout. Mais en réalité, je vais aller beaucoup plus loin. Je vais t’emmener au-delà de cette simple réflexion, car mon objectif est de te faire prendre conscience d’un point qui peut changer ta vie, comme cela a changé la mienne. Et ne t’inquiète pas, je vais tout te dire, tu n’auras pas à laisser tes coordonnées pour avoir un e‑book, pas plus que tu ne seras obligé d’acheter ma formation — qui n’existe pas d’ailleurs. Je n’ai rien à te vendre, juste quelque chose que j’ai envie de partager avec toi le fruit de ma réflexion et de mon expérience.
Tu peux lire directement ce qui suit, ou tu peux aussi suivre l’introduction que j’ai réalisé en vidéo pour ma pause café du soir… c’est complémentaire, mais l’article est bien plus fourni 😉
Je vais me mettre à la place de l’homo “Modernus”: il vit en ville, fait chaque jour 1H minimum de à transport en commun pour aller travailler, passe 7 à 8H par jour assis devant un ordinateur, à répondre à des appels de clients ulcérés de plus en plus impolis. Le soir, il se frotte la tête en remplissant sa feuille d’imposition, se disant qu’au final “à quoi bon bosser” ? Et puis ce week-end, il faudra courir partout pour amener son fils à son volley, sa fille à sa leçon de danse… et il y a ce repas avec les voisins… chiants et insipides, mais dont la fréquentation permet d’imposer un semblant de savoir vivre.
Et jeudi soir, monsieur “Modernus” a surfé sur YouTube et il est tombé sur des vidéos de Yourte, de permaculture, de colibris… qu’il a l’air sympa ce Pierre Rabhi… de gens qui se sont fait une maison en paille… et qui vivent avec 3 fois rien… heureux. Libéré de l’esclavage du travail, ils semblent couler des jours heureux, touchant pour certains le RSA, ou vendant des fromages de chèvres pour d’autres… Et là, il éclate et se dit “bon sang, je suis un esclave, la liberté est là… il suffit juste que j’ose franchir le pas” !
Mais voilà, il rêve en regardant YouTube et les efforts nécessaires pour franchir le cap semblent insurmontables. Il a dix milles bonnes raisons de ne pas le faire. L’emprunt de sa villa de quartier est amorti à moitié, mais les prix de l’immobilier ne sont plus ce qu’ils étaient. Déscolariser ses enfants maintenant pour les mettre à la campagne, loin de leurs amis… c’est mal non ? Et puis, il y a tellement de choses à préparer… et le boulot ? Il fera quoi ensuite Monsieur ‘Modernus” ?
A ce niveau de l’histoire, vous vous dites que je vais continuer à enfoncer Monsieur Modernus, car je suis un adepte du retour à la nature, avec des Dreadlocks, qui se lave une fois par semaine (je suis gentil), et qui mange “crudivore” et végan, car ça passe bien dans les milieux gauchisants écolo… Et en lisant cette dernière phrase, tu te demandes encore à quelle sauce je vais cuisiner le tout… Il faut que tu saches que j’ai été monsieur “Mordernus” par le passé, à quelques exceptions près. Je m’intéressais fortement à l’écologie, la permaculture, l’auto-construction… pourtant, je n’étais pas un grand manuel ! Le suis-je plus aujourd’hui ? Disons que j’ai plus d’expérience. Mais je fais partie de ceux qui ont vécu leur fantasme et j’en suis revenu avec une autre vision des choses.
Et pourtant, je ne vais pas te dire que sortir du système est mauvais. Le système est une abomination, une machine à broyer les hommes et les rêves, à transformer chacun en prostitué, à vivre la vie d’un autre en regardant la télé-lobotomie… Je pourrais en écrire des pages, mais ce n’est pas le but de cet article. Disons que système est fait par l’homme, pour l’homme, qu’il est à son image… et qu’il lui convient très bien… en moyenne !
J’ai cru trouver enfin la liberté en fuyant le système, et cela semblait vrai, tout du moins au début. Mais on est vite rattrapé par des soucis du quotidien: la terre, ce n’est pas si facile à travailler. L’autoconstruction, sans argent, c’est long, c’est difficile, et avec de la récupération, ça finit par ressembler à n’importe quoi – bon j’exagère, on arrive à faire des trucs sympas aussi, mais avec des moyens, on fait beaucoup mieux, plus rapidement, et de façon plus durable. Vivre avec moins d’argent, c’est compter ses sous, tout le temps… car on ne vit pas hors-système… on vit à coté. Et on voit des gens s’acheter des trucs qu’on ne peux pas, en les montrant du doigts et en se moquant d’eux… mais au fond de nous, qu’en est-il réellement. La solidarité chez les pauvres ? Joker… et surtout, les clochards le confirmeront, planque bien ce que tu n’as pas, car même ça, ton voisin voudra te le voler. Encore une fois, je noircis le tableau: merci au RSA, merci à la croix-rouge, merci aux restos du cœur… Et puis, c’est bon pour la santé de marcher… car une voiture, ça coûte vraiment trop cher si tu es hors système. Tu imagines: l’assurance, le contrôle technique, l’entretien, les vignettes écotaxes trucmuche, les pneus… et surtout l’essence !
Personnellement, j’ai vécu sans tout ça… sans raccordement à l’eau car ça revenait trop cher (la commune demandait 6000€ alors qu’il n’y avait que 2 tuyaux à brancher). Quand on a peu, on est ingénieux: on récupère l’eau de pluie, on stocke l’eau… pour entretenir le terrain, on prend des chèvres. Et on se contente des livres à la bibliothèque… car Amazon, c’est niet ! Avoir de l’électricité, à moins d’investir avant de devenir pauvre dans le photovoltaïque, c’est super cher aussi. Un groupe électrogène… oui, j’en ai eu un – à l’utilisation, c’est 3 à 5 fois plus cher que le réseau EDF. Et c’est bruyant, et ça pollue…
Mais j’étais libre… pas de voyager, car ça coûte cher… reste le vélo (un d’occasion ça coûte rien) et ses pieds… faire du stop. Mais bon, c’est une autre façon de parcourir le monde. Faut trouver à être logé… faut aider des gens tout le long… C’est enrichissant, cela développe ses qualités humaines.
Mais coté liberté, c’est pas top. Personnellement, j’aime la technologie, alors je souffrais un peu, voir pas mal, de ne pas pouvoir me payer certains jouets à la mode… pas pour frimer, juste pour apprendre à m’en servir, à les hacker… quelques fois, je réparais gratos le matériel de gens qui ne savaient même pas ce qu’ils avaient sous la main… Mais personne n’a jamais su que j’étais dans le besoin, je ne demandais jamais rien à personne.
Il semblait que la vie de l’homo Modernus n’était pas faite pour moi. Mais gratter la terre pour manger, monter des habitations en paille, et rester derrière les vitrines des magasins… cela ne me rendait pas plus heureux. Je n’ai jamais été libre en réalité. Alors, si travailler comme un con tout le temps, dépenser ses sous pour paraître et maintenir l’illusion d’un niveau de vie correct pour être admis dans un cercle restreint, ne m’apporter que stress et mélancolie. Et qu’à coté, le sacro-saint retour à la nature tant plébiscité par les hippies des années 60 ne fonctionnent que quand on dispose d’un héritage, de papa et maman qui financent, d’une pension handicapée et/ou d’un RSA… Y‑a t‑il vraiment une vie qui vaut d’être vécue ?
Je pense qu’il y en a une… mais il faut pour cela bousculer toutes nos croyances. Oui, la nature, c’est génial… un mode de vie saint, ressourçant, reposant… mais si tu aimes un minimum de confort, si tu apprécie la culture, les voyages, la technologie… boire un bon vin,alors te mettre en marge du système ne va pas t’apporter ce bonheur tant recherché. Tu vas y trouver la misère, la difficulté… tu diras que tu es riche au fond, pas d’argent, mais de plein d’autres choses. Et une partie de toi saura que tu te ment à toi même. La vérité n’est pas aussi simple…
Et si tu prends le pli inverse, accumulant des biens immobiliers, de belles voitures, des tableaux… déjà, il est pas évident qu’un jour tu sois capable de cela, par ton propre travail. Car soyons réaliste, l’ascenseur social est plutôt en panne en ce moment, même si tu es quelqu’un de très doué. Au mieux, tu auras peut être 2 maisons à ta retraite, et tu rouleras dans une belle citadine électrique. Si entre deux, tu n’as pas perdu la moitié en divorce, frais de justice, puis alcool et anti-dépresseurs. La liberté est en partie dans l’argent, mais elle est inversement proportionnelle aux possessions.
Oui, je suis entrain d’insinuer que louer c’est mieux que d’acheter. C’est vrai, tu ne te constitueras pas un capital en pensant ainsi. C’est vrai que dans 20 ans, si tu payes toutes les traites de ta maison, tu auras accumulé de l’argent que tu n’auras pas mis dans un loyer. Mais tu auras aussi peut-être loupé de nombreuses opportunités professionnelles, l’occasion de séjourner de temps en temps dans des hôtels de luxe, voir louer de belles villa en bord de mer, dans un tas de pays. Hé, mais c’est pas avec mes 800€ de traite mensuelle que je pourrais faire ça. Oui, si on pense petit, on finit par n’obtenir que ça. Je pourrais continuer avec un tas d’exemple: si tu n’as plus besoin d’utiliser ta voiture chaque jour, pourquoi avoir une voiture ? Pourquoi ne pas passer par du Uber, du blabla-car et de temps en temps louer une petite Porsche et te faire plaisir ?
L’argent et la mobilité offrent une véritable liberté. C’est aussi le pouvoir de t’extraire de ton milieu, de temps en temps. Tu peux jouer la grande vie, rencontrer d’autres personnes et saisir des opportunités qui semblaient inaccessibles auparavant. Si tu ne possèdes rien qui puisse passer d’un pays à un autre, tu ne tombes sous le joug d’aucun gouvernement qui veut t’étrangler avec les taxes. Tu n’es pas obligé de rester dans un pays qui semble devenir fasciste ou qui au contraire, souhaite accueillir toute la misère du monde à tes frais. Tu peux être égoïste si tu le veux, ou bien être généreux, sans passer par la case huissier et impôts obligatoire. Et puis le monde est peuplé de merveilles à découvrir, des choses qu’on ne découvre pas en voyage organisé, ni même en partant bivouaquer 3 semaines à la dur.
Plus jeune, je me disais qu’il me faudrait avoir telle ou telle chose pour pouvoir aller de l’avant. J’aimais la robotique, l’électronique et l’informatique. Alors, il me fallait un atelier, type “Iron Man” quoi… Et puis, en bord de mer c’est mieux. Un petit bateau, c’est le minimum quand on habite en bord de mer… Pas un yacht, je pensais à un voilier, un 12–15m. Je n’avais pas la folie des grandeurs… Et puis, je listais… je visualisais dans même tête. Au début, ça me faisait du bien. Et puis, le quotidien me rattrapais et plus le temps passait, et plus tout cela me semblait du niveau du rêve et non du possible. Et de visualisation positive, cela se transformait en souffrance. Je calculais, je me disais… bon, avec 1M d’euros, je pourrais avoir tout ce que je veux… bon, pas tout, mais je pourrais m’en contenter. Oui, mais, j’arrivais à peine à économiser 10K€, qu’il fallait changer la voiture, ou un problème de santé ou une autre merde faisait que mes économies ne progressaient guère… peut-être, qu’avec de la chance, de bons placements, d’ici 30 ou 40 ans, si tout ce ne se casse pas la gueule d’ici là… Oui, mais j’aurais quel âge ? J’aurais encore la force de profiter de la vie ? Et de nouveau, la déprime revenait… non, pas vraiment la déprime… l’absence d’espoir… la désespérance ? (les mots finissant par “ance” sont à la mode).
Et puis un jour, j’ai changé ma façon de penser. Et je me suis dit: imaginons que je travaille 6 mois dans l’année. Mais à fond quand même. Et les 6 prochains mois, je vis ma vie à fond. Quel budget me faudrait t‑il pour bien en profiter ? Oui, pas partir forcément à telle date en low cost… être bien placé dans l’avion, qu’on me serve une coupette. Et je descendrai dans de jolis hôtels… pas toujours, mais de temps en temps. Je ferai ceci et cela… Et j’ai fait le calcul et là cela a été le choc. Avec XK€ gagnés sur 6 mois, je peux très bien vivre toute l’année, faire quelques folies, m’acheter un tas de technos que je revendrais 3 fois moins cher après (mais tant pis, je les aurai testé au moment où ils font rêver… pas quand ce sont de veilles neiges). Si je suis malin, je fais en même temps de bons placements. Je peux même m’acheter un ou deux biens immobiliers que je louerai direct… Bref, même avec deux fois moins, mais avec une fiscalité intéressante, je pourrais très bien vivre, et dès maintenant !
Bon, vous allez me dire, XK€, c’est beaucoup en 6 mois. Non, en fait, vous n’allez rien dire car j’ai décidé de ne pas parler du montant qui me convient à moi. Car après tout, pour toi, c’est peut-être beaucoup moins ou un peu plus. Le tout, c’est de ne pas avoir à acheter des choses… se contenter de jouir de certaines choses. Dans nos sociétés modernes, tout est à louer, même le corps de jolies demoiselles ! Ah, je viens de choquer les plus puritains d’entre-nous. C’était une boutade – après tout, je ne te blâme pas si tu pratiques ce commerce, même si personnellement, cela ne m’intéresse pas. Tout se loue… c’était là l’essentiel de ma réflexion, pour le meilleur et pour le pire !
Quand je parle de XK€, c’est du bénéfice et pas du chiffre d’affaire. Oui, déjà, tu l’as deviné… mobile, libre et salarié.… y‑a une couille dans le pâté. Il faut forcément passer du coté de la barrière des aventureux… là où il faut savoir tout faire, et surtout le métier qu’on facture à ses clients. Mais, quand on gagne correctement sa vie, le reste se soustraite, ou alors on le fait avec bon cœur. En France, je gagne XK€, je récupère combien… après charges patronales, TVA, impôts sur les dividendes ou sur le salaire ? Si je suis malin, j’arrive à récupérer 30 à 35%, en utilisant quelques niches fiscales… quand le vent ne tourne pas trop rapidement. En gros, en France, pour avoir mes XK€, j’ai intérêt à pouvoir facturer mes honoraires au moins 3 à 4 fois plus (car plus on gagne et plus c’est taxé). Là, ça redevient du rêve. Après, il y a un tas d’endroits où il suffira de facturer à peine 20% de plus… mais pas en France. Pas dans le pays des droits de l’homme, où chaque jour on perd en liberté d’expression, en liberté d’un tas de choses… Pas dans le pays de la santé où il faut 6 mois pour avoir un rendez-vous avec un spécialiste, et où les médicaments sont déréglementés. Le pays où le médecin d’une petite ville n’arrive même plus à céder gratuitement son outil de travail à un médecin des pays de l’Est qui va préférer une grande ville. Il est n’est pas venu en France pour aller s’enterrer non plus !
Bon, ça semble encore beaucoup ? Écrivez 4 ou 5 livres, facturez vos prestations à bon prix (mais soyez compétent dans votre domaine en vous formant régulièrement et abondamment – développer sa compétence est le meilleur investissement). Faites de la formations ou vendez des produits que vous créez. Soyez développeur et créez des programmes qui rendent service et font gagner du temps. Le temps, c’est de l’argent dit-on ! Inventer des recettes, ouvrez un petit restaurant que vous céderez dans 6 mois, ou employez un nouveau cuistot qui suivra vos recettes ! Peu importe le domaine ou le métier, tout ce qu’on fait avec passion, sans se prendre le coup de batte de base-ball (Lucille?) des banquiers et de l’administration… tout ce que vous entreprenez, vous pouvez le réussir. Et tout ce que vous rêvez d’obtenir peut se réaliser, à condition de “bien rêver”, de trouver quelque chose d’accessible et qui vous fasse vibrer.
Ah oui, c’est pas aussi simple que de toucher le RSA en début de mois, je vous l’accorde. Ou que d’encaisser son salaire du mois précédent. Mais si vous aimez ce que vous faites et que vous êtes un minimum commercial, que vous aimez le travail bien fait et que vous savez travailler vite quand c’est nécessaire, il y a un tas de société qui gagneront de l’argent grâce à vous – ou de gens qui passeront du bon temps grâce à vous. C’est mal ? L’argent n’est ni mal, ni mauvais. Cela dépend ce que vous en faites. C’est d’ailleurs tellement virtuel dans nos sociétés où le cours de la monnaie est totalement sous le joug des banques centrales. Et si vous voulez vivre au vert 6 mois dans l’année, tant mieux ! Mais vous vivrez bien, avec des panneaux solaires, avec une éolienne, dans un bon terrain riche, bien exposé, avec des plants adaptés, une terre enrichie. Et vous ne serez pas obligé de sortir la machette contre les mauvaises herbes.
Bref, pour moi, ce XK€ est accessible – à condition que je travaille dur 6 mois par an… et encore! Du travail que j’aime. Et si je dois surveiller mes affaires durant ces 6 mois restants, cela ne sera pas non plus un supplice. Et je vais continuer à vivre simplement et au vert une partie de l’année, car j’aime ça. Mais je vais aussi voyager, aller à des conférences, rencontrer un tas de gens, assister à des colloques, voire y participer. Je vais pouvoir utiliser la liberté que me procure l’argent, et pas comme le ferait un avare qui ne pense qu’à s’enrichir plus, comme toute dépendance à une drogue… Je n’aurais pas de Yacht, je n’aurais pas une villa à 2M€… tout du moins, pas toute l’année ! Quand j’en ai envie. Vous savez, le luxe, on s’y habitue très vite, et ça devient chiant. Et après, c’est l’horreur si on n’a pas accès au luxe en permanence ! Mieux vaut savamment doser, savoir se faire plaisir, sans abuser – en étant conscience de la chance qu’on a, car cela ne dure pas. Mais vivre ! Profiter de chaque instant ! Ne pas être limité par sa bourse, limiter un peu ses ambitions toutefois. Voilà, vous aussi vous pouvez vivre la vie de vos rêves, à condition de bien vous organiser et d’oser !
Très intéressant comme toujours de partager ta vision nourrie de tes expériences ! Merci
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Merci pour cet article !